RAPID SKYE
MOVEMENT
2021-22sabl.live
residency - Installation, performance, video 2021video, quasi-documentary
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Aux Abris Bunker sabl Lausanne, April-June 2023
Espace Arlaud sabl Geneva, Nov 2022
CADAF Digital Art Month Paris Paris, France, June 2022
Mock Jungle Bologna, Italy, April 2022
New Art City Direct portal to Rapid Skye Movement, TSAD Virtual world, ongoing
Espace_L Genève, Switzerland; March-April, 2022
Throughout the month of October, 2021, Nacoca Ko created a liminal nest, spawning a space where multiple lines of realities converge: the physical space-time room, with its contained objects and sensors, robots and humans; the digital plane of video art interfacing between the virtual and the real; past and future space-times manifesting through dreams and memories; the surreal adaptations of machine-learning programs; the distorted perspective of livecams; and you, in your own complex reality.
The work was informed by nesting with humans and entangling with birds. Those garden birds that chose to nest outside a window, as well as those surveyed through lockdown on a livecam - falcons high in the mountains that created their nest from sticks and plastic bags, and later fed city pigeons to their young. These works were hatched from my residency in October 2021 at sabl.live.
Sabl exists in a secret physical location, that can be viewed 24/7 by streaming surveillance cameras online. For this residency, a woven network consisting of items brought from my studio and outside the sabl space create a nest for artistic research. Videos accumulated from my observations and re(de)construction of the world meet new AI-formed birdlike creatures. The original birds in the dataset are from Ernst Haeckel’s drawings. With Alan Ixba, GANs morph the birds and try to clone their calls. With Jo Vargas, autonomous robotic nest eggs hatch a world-song in a tempo and sonority of their own.
in collaboration with Alan Ixba, Jo Vargas, Cedric Muller, Antoine Félix Bürcher
Vibrant Imaginaries, Corona Call
sabl 2020-2022
écran LCD, planches, tréteaux,classeur, techniques diverses,dimensions variables (selon la taille de la pièce)Impressions numériques de captures d’écrans des résidences des artistes :Antoine Weil, Felipe Nogueira, Magda & Edel, Grégoire & Sandro, CharleyKlein, Nicolas Alvarez, Montserrat Mayor et Agathe de Limoges, MonicaUnser & Daniel Prenleloup & Robert Zamboni, Anthropie, Mal:Mal: CasparDanuser, Eva Maspoli, Nacoca Ko, Balthazar Zin, Distorted Orchestrea, I’m obsessed with, Christophe Pithon, Duo ON, Collectif sous-titre, Sara Zannoni,Collectif 33km/h, Tuure Leppavara et Xiao Zhiyu
Le sabl est un espace d’art www - accessible à travers son site internet https://www.sabl.live. Ce format a permis au collectif qui curate sa programmation de diffuser, dèsle début de la pandémie, des résidences artistiques filmées en continu par des camérasde surveillance et transmises par un streaming en live.La localisation empirique de la chambre filmée n’a finalement que peu d’importance.En plus de mettre à disposition un espace de travail et de donner une visibilité à despratiques artistiques en temps de crise, le sabl propose avec son format hybride unetimeline commune, formée par les résidences s’étant succédées sur sa plateforme.Les pratiques collectives qui habitent le sabl, et leurs traces forment une archive qu’il s’agit alors d’exposer: revêtement de sol, classeur contenant des contrats, table d’atelier et impressions de screenshots récoltés par le public. Ces archives hybrides témoignent de l’activité des artiste·x·s, de leurs gestes, de leurs actions, elles deviennent œuvres à leur tour, œuvre autour des œuvres. Le sol au mur, comme le visiteur du siteinternet qui plane au dessus de l’espace avec ses 4 yeux.Les images disséminées au sein de l’architecture de l’espace Arlaud sont des poor images. Impressions pixelisées, collées aux parois et ainsi nécessairement éphémères,ces bribes de corps et zooms aléatoires sont des idées errantes transmises et crééespar une communauté de spectateurs; elles incarnent un réseau culturel et son langage ainsi qu’une forme de liberté. Dans l’espace Arlaud, le sabl est également présent parla transmission de son livestream sur un écran. La temporalité du live résonne avec lesattentes de l’exposition par le fait de développer des réseaux et connexions entres humains en temps réel. - sabl
écran LCD, planches, tréteaux,classeur, techniques diverses,dimensions variables (selon la taille de la pièce)Impressions numériques de captures d’écrans des résidences des artistes :Antoine Weil, Felipe Nogueira, Magda & Edel, Grégoire & Sandro, CharleyKlein, Nicolas Alvarez, Montserrat Mayor et Agathe de Limoges, MonicaUnser & Daniel Prenleloup & Robert Zamboni, Anthropie, Mal:Mal: CasparDanuser, Eva Maspoli, Nacoca Ko, Balthazar Zin, Distorted Orchestrea, I’m obsessed with, Christophe Pithon, Duo ON, Collectif sous-titre, Sara Zannoni,Collectif 33km/h, Tuure Leppavara et Xiao Zhiyu
Le sabl est un espace d’art www - accessible à travers son site internet https://www.sabl.live. Ce format a permis au collectif qui curate sa programmation de diffuser, dèsle début de la pandémie, des résidences artistiques filmées en continu par des camérasde surveillance et transmises par un streaming en live.La localisation empirique de la chambre filmée n’a finalement que peu d’importance.En plus de mettre à disposition un espace de travail et de donner une visibilité à despratiques artistiques en temps de crise, le sabl propose avec son format hybride unetimeline commune, formée par les résidences s’étant succédées sur sa plateforme.Les pratiques collectives qui habitent le sabl, et leurs traces forment une archive qu’il s’agit alors d’exposer: revêtement de sol, classeur contenant des contrats, table d’atelier et impressions de screenshots récoltés par le public. Ces archives hybrides témoignent de l’activité des artiste·x·s, de leurs gestes, de leurs actions, elles deviennent œuvres à leur tour, œuvre autour des œuvres. Le sol au mur, comme le visiteur du siteinternet qui plane au dessus de l’espace avec ses 4 yeux.Les images disséminées au sein de l’architecture de l’espace Arlaud sont des poor images. Impressions pixelisées, collées aux parois et ainsi nécessairement éphémères,ces bribes de corps et zooms aléatoires sont des idées errantes transmises et crééespar une communauté de spectateurs; elles incarnent un réseau culturel et son langage ainsi qu’une forme de liberté. Dans l’espace Arlaud, le sabl est également présent parla transmission de son livestream sur un écran. La temporalité du live résonne avec lesattentes de l’exposition par le fait de développer des réseaux et connexions entres humains en temps réel. - sabl